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Les Elfes du Dauriath

Nellio et Melorea

Par Yichard Muni, barde Elfe

 

Rencontrons-nous en vrai! Mon nom: Richard Trigaux. Nom d'artiste: Yichard Muni
Tous les vendredis à 12pm SLT (19hTU) (France: 21h), rencontres elfiques et histoires

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Elf Dream a son site, il est actif dans dans les mondes virtuel Sovaria, Alternate Metaverse, et présent dans Second Life, Discord, Facebook.

 

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Ce texte s'insère dans une intrigue plus vaste. Il vaut donc mieux lire d'abord «Le Baiser des Mondes».

Index des histoires: ordre chronologique, ou par ordre de création

 

 

Cette histoire s'est déroulée dans le monde des elfes, le Dauriath, environ 250 ans après que les elfes y furent exilés. Ils étaient encore loin d'occuper toutes les terres disponibles, de sorte qu'ils préféraient s'occuper mieux de certains endroits sélectionnés.

Un de ces lieux s'appelait Garmalen. C'était une plaine circulaire, d'environ six kilomètres de diamètre, entourée de collines, comme souvent dans le Dauriath. Le Nyidiath (le monde des humains) n'était pas visible d'ici. Ils savaient que cette plaine devait rester une plaine pour toujours, à l'abri de la montée de l'océan. Ainsi ils la réservaient pour les cultures, afin de nourrir plusieurs villages sur les pentes des collines. Les collines elles-mêmes étaient réservées pour les vergers, ou laissées naturelles. Il y avait environ 12 000 Elfes vivant à Garmalen, mais ce plan leur permettait d'avoir plusieurs jolis petits villages tout autour, au lieu d'une seule ville surpeuplée.

 

 

Cette histoire s'est passée à la fin de l'été, et presque toute la plaine était chargée de cultures dorées et d'arbres verts. C'était un temps de lourd travail, pour recueillir et stocker toutes ces céréales et ces fruits. Mais après, ils savaient qu'il y aurait une fête magnifique. Ainsi, tous les elfes des villages environnants venaient aider les agriculteurs pour la récolte. Ils devaient ramasser le blé bien sûr, pour faire du bon pain odorant pour l'hiver. Mais il y avait aussi beaucoup de fruits mûrs, à cueillir dans les vergers. Pas les mêmes fruits que sur Terre, bien entendu, mais appelons-les quand même des pommes, des raisins, et d'autres. Les pommes peuvent être stockés pendant des mois dans le sable, et toujours faire du bon prana pour les jours froids. Il fallait manger tout le raisin à la fois, ou faire du jus avec.

Mais tous les elfes ne travaillaient pas! Certains avaient un rôle irremplaçable, qu'ils ne pouvaient pas abandonner, même en pleine récolte: les bardes! Oui, alors que tout le monde était occupé à transporter, cueillir, battre et presser, les bardes jouaient de la musique, sur des sortes de guitares, violons, flûtes, tambourins, donnant un rythme joyeux au travail et beaucoup plus d'entrain qu'un salaire à la fin du mois!

Ceci explique pourquoi les elfes ne bavardent pas tant que les humains: ça les intéresse plus de profiter de cette ambiance joyeuse et énergique. Mais ils rient souvent, et parfois font des farces, surtout les jeunes elfes qui font des blagues pour attirer l'attention des jeunes filles elfes. Mais l'humeur générale dans Garmalen était plutôt de profiter des vibrations joyeuses de musique et de nature. Les elfes au travail sont étonnants: tout le monde prend sa part, petite ou grande, adulte ou enfant, et ils le font, joyeux et très organisés en même temps, et il y a toujours quelques chants ou musiques.

Le soir, quand il faisait trop sombre pour travailler à l'extérieur, ils se rassemblaient dans les granges, ou dans de grandes maisons communautaires. Là, ils pouvaient danser, jouer de la musique, raconter des histoires, ou rencontrer des amis. Ce qui fait que, bien après minuit, il y avait encore de la musique, des rires, de la lumière. Plus tard, ils leur fallait se coucher sous des tentes, ou bien dehors si le temps le permettait. En effet les elfes ont tout de même besoin de quelques heures pour rêver ou pour dormir, qu'ils passent au lit.

Tôt, au lever du jour, ils se levaient rapidement. Bon, d'accord, certains étaient plus paresseux, mais personne n'y pensait! Après un bon repas, ils étaient de retour au travail, et les granges se remplissaient vite.

Le temps des récoltes était également l'occasion des rencontres. Certains ne se voyaient pas souvent, d'autres qui ne s'étaient jamais vus. Les artistes et les intellectuels. Les jeunes aussi, mais pour d'autres raisons...

Lorsque le travail était terminé, ils organisaient un bal final, un festival annuel de célébration. Ils allumaient un énorme feu de paille (ou plutôt plusieurs, parce que 12 000 personnes peuvent difficilement se rassembler autour d'un seul feu). Ils jouaient de la musique, dansaient, fraternisaient... c'était le moment, parce que le reste de l'année les voyait dispersés dans les villages.

Quand, le lendemain, la fête était terminée, ils retournaient lentement vers leurs jolis villages elfiques, sur les pentes des collines alentour. Certains villages spirituels étaient plus loin dans les montagnes, mais les plus beaux endroits étaient les vallons cachés entre les collines. Ces lieux paisibles étaient généralement laissés sans aucune construction, avec juste des vergers, des prairies et quelques rotondes, pour profiter du calme et de la vibration vivante de la nature.

Nellio était un mignon jeune elfe, mince aux cheveux bruns, toujours célibataire... et désireux de trouver une épouse!

Il décida donc de ne pas retourner au village de ses parents, mais de suivre un autre chemin... car il avait remarqué Mellorëa, une elfe magnifique aux cheveux auburn et aux formes généreuses. Cependant, Mellorëa semblait ne pas le voir... elle parlait avec d'autres elfes... Nellio joignit ce groupe, essayant de suivre la conversation, dans l'espoir que quelque chose se passe...

Ils arrivèrent au village de Mellorëa, au débouché d'un vallon avec un ruisseau et de rafraîchissants sous-bois. Les maisons étaient semées le long de la pente: les lieux communautaires en bas, de vastes maisons familiales au milieu, avec jardins et fleurs. Plus haut, de petits chalets abritaient les amateurs de calme, sans trop de visiteurs.

Dès son arrivée, Mellorëa se précipita sur un chemin montant, si bien que Nellio la perdit bientôt de vue. Il se sentit frustré et un peu malvenu... Mais bon, c'était un elfe, et l'amour elfique ne devient intense que si il est réciproque. Donc il ne souffrait pas vraiment. Et de toutes façons, il y avait beaucoup de gens sympas dans ce village: ils le remarquèrent vite, lui donnèrent à manger et un endroit pour dormir dans une maison communautaire à proximité, sans poser de questions.

Ils parlaient de beaucoup de choses, et il découvrit ce lieu avec plein de gens qu'il ne connaissait pas, tous occupés à diverses activités: le jardin, les art, les ateliers, l'éducation des enfants, l'école, etc.. Mais bientôt, il remarqua qu'ils faisaient allusion à quelque chose... quelque chose d'unique, d'introuvable dans les autres villages!

Tard dans la soirée, Mellorëa revint à la maison commune... Nellio osa lui parler, mais pas d'amour... il fit bien, car Mellorëa était déjà mariée! Avec un doux elfe, comme ils le disaient tous... mais il était très occupé «là-haut», à quelque chose de mystérieux.

Nellio fut un peu triste, mais, bon, il n'avait qu'à lâcher. L'amour elfique n'avait pas été créé pour amener la frustration, mais pour partager le bonheur et s'apporter mutuellement de la force! Cependant, la douce Mellorëa sentit probablement le problème, et elle se mit à parler à Nellio. Il était intrigué, alors elle l'invita à «l'autre endroit», avec son mari. Oui, son mari était retenu par son activité, et il n'avait pas pu assister à la récolte, ni même aux repas communautaire.

 

 

Ainsi, le lendemain matin, Nellio montait le chemin derrière Mellorëa. Ils portaient tous deux un sac de nourriture, pour un système de transport collectif. Le chemin sinuait le long des collines, parmi des roches brunes et des buissons fleuris, sous le joyeux soleil de la fin de l'été. Par endroits, des sortes de prêles jaillissaient au-dessus des arbustes, couvertes de liseron de couleurs variées. Nellio prit plaisir à découvrir ce nouveau paysage...

Enfin, ils arrivèrent dans un vallon... Mais à la surprise de Nellio, il était rempli de bâtiments. Pas vraiment différent des autres bâtiments elfiques, mais serrés ensemble, un trait inhabituel. C'était un endroit propre et calme. Mellorëa invita Nellio dans des salles d'enseignement. Il pensa d'abord que c'était une école, mais le tableau noir portait des symboles qu'il ne connaissait pas... Des ateliers montraient des fioles et d'autres appareils bizarres.

Puis Nellio comprit: c'était une école et un laboratoire de science! Il fut vraiment étonné d'en voir un. Il savait, comme tout le monde, que les elfes n'ont pas vraiment besoin de science... En tout cas pas de notre science matérialiste! Ils avaient la magie, qui est plus efficace... Mais il savait aussi, comme tous les autres elfes, que les humains du Nyidiath avaient brisé tous les tabous religieux sur la science et la technologie, de sorte qu'ils les développent rapidement. Et dans seulement quelques siècles, ils arriveraient à un point dangereux, où constructions anarchiques et pollution menaceraient la survie même de leur monde... et aussi du Dauriath, qui partage la même atmosphère!

Tous savaient que lorsque le Horiathon (le passage entre les deux mondes) serait ouvert dans les deux sens, il deviendrait très facile de voyager entre les deux mondes. Les elfes pourraient alors retourner dans le monde humain, où leur sagesse et leur amour de la nature seraient vraiment nécessaires: ramener la raison et la beauté dans ce monde humain!

Ce serait le seul moyen de sauver leurs deux mondes. Mais, pour être capables de le faire, les elfes devaient aussi développer la science et la technologie!

Mais ils le faisaient prudemment, sans détruire leur propre monde. Une science sage, respectueuse de la vie et de la nature.

Ainsi, ils seraient bientôt en mesure d'atteindre le niveau de sciences humain, et même de le surpasser, bien avant la réouverture du Horiathon. Mais ils avaient décidé de le faire en secret, là où les humains ne pouvaient pas les voir, comme dans cette plaine hors de vue du Nyidiath. Ainsi Mellorëa était une scientifique, une vraie scientifique elfe, qui savait que ce qu'elle découvrait n'était qu'une illusion matérielle, incapable par elle-même de conduire au bonheur.

Il y avait beaucoup d'autres personnes dans le bâtiment, y compris le mari de Mellorëa. En ce moment, il était dans un laboratoire, contrôlant une expérience sans pouvoir être dérangé. Mais beaucoup d'autres arrivaient, se rassemblant dans une salle d'enseignement. Ils semblaient être de vieux amis.

Quand nous parlons de scientifiques, nous imaginons des étudiants en blouses blanches, ou des vieux profs en costume-cravate, dans des bâtiments carrés... C'était précisément le contraire ici: ces gens étaient avant tout des elfes, et ils n'abandonneraient jamais cette qualité pour quelques connaissances matérialistes! Ainsi, ils étaient tous vêtus à la manière elfique, de belles robes et tuniques longues colorées, parlant d'une voix douce ou chantant, dans de belles salles arrondies peintes des tons de l'arc-en-ciel...

Nellio n'aima pas les appareils bruyants dans l'atelier, mais il les accepta, car il savait qu'ils servaient un but grandiose. Il explora un peu, mais sans oser toucher quoi que ce soit: fioles avec des noms bizarres, machine de Wimshurst, etc.

Toutefois, il y avait plus... Mellorëa amena Nellio dans une grande grotte derrière les bâtiments. C'était une ancienne mine de fer, maintenant épuisée. (Souvent dans le Dauriath on trouvait de petites mines de fer natif tombé du ciel). C'était une grande pièce sombre, avec des appareils étranges, des planches brutes et des matériaux, des armoires et piliers de bois épais. Près de l'entrée était un grand four pour faire fondre le métal, avec des moules d'argile. Mais ce qui attirait l'attention était un haut cylindre vertical en planches, comme un grand tonneau, au milieu de la pièce. Sa partie inférieure comportait vitres et manivelles. Nellio regarda à l'intérieur, et il vit quelque chose d'étrange: deux boules de bronze, reliées par une barre de bronze, semblant flotter en l'air! Mellorëa expliqua qu'elles étaient suspendues à un mince fil d'acier, dans l'axe du cylindre, si mince que dans l'obscurité, il était invisible. Il y n'avait donc aucune magie ici... Sauf que tout ça semblait vraiment bizarre et inutile! Outre les deux boules de bronze, séparées par une paroi de planches, deux grosses boules de plomb pouvaient pivoter autour de l'axe du cylindre, grâce à une manivelle. Autour, dans la salle, étaient rangés des lingots de plomb ou de bronze, avec toujours la forme qui avait servi à la fois de ballast et de fret dans les navires croiseurs de Horiathon.

Mellorëa alluma une bougie près d'une des fenêtres, afin d'avoir une bonne vue de l'intérieur sombre. Puis, elle demanda à Nellio de regarder par un des petits télescopes perçant la paroi du cylindre. Il montrait une ligne verticale fixe gravée sur une plaque, et d'autres lignes verticales tracées sur une des boules de bronze. Tout semblait immobile, sans utilité apparente...

Puis Mellorëa commença à tourner une manivelle, pivotant les boules de plomb sur l'axe vertical.

Ainsi, les boules de plomb commencèrent à approcher lentement les boules de bronze... Nellio se demandait bien ce qu'était cette expérience!

Tout à coup, il réalisa que les lignes sur les boules de bronze se déplaçaient! Une passa, puis plusieurs!

Étonné, Nellio comprit que les deux petites boules de bronze bougeaient, comme si elles étaient attirées par les deux grosses boules de plomb, sans aucun contact visible!

Nellio chercha d'abord des engrenages transmettant le mouvement, mais même le vent ne pouvait atteindre les boules de bronze dans leur boîtier étanche. Puis il pensa à une magie, mais il n'y avait ici que du bois et du métal...

Enfin, Mellorëa expliqua: c'était la gravitation des boules de plomb, qui attirait les boules de bronze! L'expérience était un pendule de torsion, qui est sensible à des forces aussi faibles.

Nellio était totalement fasciné, de voir à l'œuvre la force même qui déplace les étoiles et les planètes, capturée dans un appareil, qu'il aurait pu construire de ses propres mains! Pendant de longues heures, il regarda les deux boules de bronze osciller, avec les lignes passant lentement... Il lui fallut tout ce temps pour s'arrêter, dans une position qui était effectivement différente de sa position d'origine.

Cette expérience étrange lui donnait le même sentiment d'étonnement que de regarder quelque chose d'impossible, magique, défiant notre sens de la réalité! Comment ces boules de bronze bougeaient-elles sans contact? La science était vraiment magique!

 

 

Tard le soir, Mellorëa ramena un Nellio rêveur vers une des maisons au-dessus du village. Elle avait son idée... Nellio entra dans une belle pièce, toute remplie de coussins et arrangée de rideaux fleuris... Mellorëa pris un prétexte pour aller à la cuisine, en demandant Nellio d'attendre quelques minutes... Nellio eu le temps d'admirer la lumière des bougies à travers de minces papiers de couleur, et de sentir le parfum délicieux... Probablement des fruits ou des fleurs étaient stockés dans une cave, disposée de sorte que leur parfum entre dans la maison.

Il entendit des chuchotements et des fous rires, et tout à coup deux Mellorëa apparurent! Nellio fut tout d'abord désorienté par ce nouveau tour, mais ce n'était pas une autre expérience scientifique étrange: il y avait deux belles femmes elfes se ressemblant beaucoup, vêtues de la même robe! Puis il comprit, comme Mellorëa présentait sa soeur Amalorëa...

Amalorëa ressemblait beaucoup à Mellorëa, mais elle était plus jeune et encore plus belle... et pas mariée!

Ce fut une soirée merveilleuse, où tous les trois ont parlé de science, partageant leur intérêt... Mais bientôt, la conversation porta sur la vie, la musique et l'amour...

Ainsi, tandis que Mellorëa se rendait ostensiblement dans la cuisine, sous prétexte de faire des cookies, Nellio et Amalorëa, se sont, hum, mariés, sur le grand canapé dans le salon!

C'était la maison de Amalorëa, et elle désirait également beaucoup trouver un mari... et elle avait préparé un nid d'amour, avec tout pour un gentil mari être heureux, un atelier entièrement équipé, une cave et un jardin... Et Nellio était tout simplement trop heureux de tomber dans ce piège délicieux!

C'est ainsi que Nellio s'est marié avec une scientifique elfe, et que finalement il a aussi étudié et rejoint l'équipe.

 

 

C'est ainsi que la vie des elfes se passe, entre merveilles et chaleureux moments...

 

 

Fin de cette histoire, ou le début d'une autre...

 

 

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L'expérience de Cavendish

Cette expérience a été faite sur Terre, par Henri Cavendish, en 1797-1798, et elle a montré que la Loi de la gravitation est universelle, à toutes les échelles, des planètes à l'échelle humaine. Elle a également permis de mesurer la gravitation avec une précision de 1%. Il est incroyable qu'elle ait pu être effectuée et donner des résultats si précis, avec les pauvres moyens disponibles à cette époque: aucun électricité, cuve en bois, bougies, instruments sommaires réalisés à la main, etc. Cette expérience est toujours celle utilisée aujourd'hui pour mesurer la constante de gravitation.

L'expérience de Cavendish est l'une des expériences les plus étonnantes de la physique moderne, où l'on voit les forces qui animent les étoiles et les planètes dans le ciel, déplacer des objets humains ordinaires...

Avec celle-ci, la science elfique de l'histoire avait vraiment pris de l'avance sur la science des humains!

 

 

La génération de cette histoire

Cette histoire est encore une fois une improvisation qui s'est tenue à mon événement bardique dans les terres de Elf Circle en 2009 dans Second Life. J'ai d'abord demandé des mots-semences. J'ai obtenu «Harvest» (récolte) et «dancing», «fertility», «farming» (culture), «fruitful» et «enjoy» (prendre plaisir), «schön» (beau), « zufriedenheit» (satisfaction) et «vertrauen» (vérité), «loss» (perte). Le nom «Garmalen» a été offert par Belethil Ishtari.

 

 

Scénario, dessins, couleurs, réalisation: Richard Trigaux (Sauf indication contraire).

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